[...] J'entends commencer dans quelques jours un voyage vers la côte de Caroline du Nord dans les environs de l'île Roanoke dans le but de faire quelques expériences avec une machine volante. C'est ma conviction que le vol est possible et même si j'entreprends cette étude pour le plaisir plutôt que pour le profit, je pense qu'il y a une petite possibilité d'atteindre renommée et fortune avec ca. C'est presque le seul grand problème qui n'ait pas été poursuivi par une multitude de chercheurs et conséquemment amené au point où des progrès additionels soient très difficiles. Je suis certain de pouvoir atteindre un point très en avance de tous les ouvriers précédents dans ce domaine même si on n'atteint pas un succès complet tout de suite. En tous cas je devrais faire une sortie de plusieurs semaines et voir une partie du monde que je n'ai jamais visitée auparavant. Affectueusement votre [fils]*
- Wilbur Wright, d'une lettre à son père de Kitty Hawk, 1900 septembre 03.
[...] Notre nouvelle machine est une grande amélioration sur tout ce que nous avons construit avant et dépasse toutes les constructions de qui que ce soit. Nous avons battus tous les records de planéité des planés puisque dans certains cas nous avons descendus avec seulement 5⅓ degrés de l'horizontale alors que les autres machines descendaient de 7½ ° à 11 °.
Ceci veut dire qu'en planant, nous pouvons descendre beaucoup plus lentement, [...]. La nouvelle machine est aussi beaucoup plus contrôlable que toute construite jusqu'à maintenant alors le danger est proportionellement réduit. Nous sommes très prudents et éviterons les accidents de nature sérieuse si possible. Hier j'ai tenté trois planés du haut de la colline et fait des distances de 506 pi, 504 ½ pi et 550 pi respectivement [ ie. 154,3, 153,8 et 167,7 m ] au-dessus [du sol]. [...]
- Wilbur Wright, d'une lettre à son père de Kitty Hawk, 1902 octobre 02.
[...] Les derniers cinq jours ont été les plus satisfaisants que nous ayons eus pour planer. En deux jours nous avons fait plus de 250 planés, ou plus que nous avions fait tous comptés jusqu'au moment où Lorin est parti. Nous avons acquis des compétences considérables dans le maniement de la machine maintenant, au point d'être capables de la sortir dans toutes sortes de temps. Jour avant hier nous avions un vent de 16 mètres par seconde ou environ 30 milles à l'heure, et plané dedans sans aucune misère. C'était le vent le plus fort qu'une machine volante ait jamais vécue, donc nous détenons maintenant tous les records! La machine la plus grande jamais manoeuvrée dans toutes sortes de [temps, la plus grande dis]*tance planée (Americaine), le plus long temps en l'air, le plus petit angle de descente, et le plus grand vent!!! Bon, je laisserai le reste de ce «vent» pour notre retour à la maison. [...]
- Orville Wright, d'une lettre à sa soeur de Kitty Hawk, 1902 octobre 23.
[...] Les Français, dit Orville Wright en souriant, ont longtemps douté de nos expériences. Ils nous traitaient de bluffeurs. Aujourd'hui, nous ne méritons plus auprès d'eux cette réputation. Mais ce qui vous paraîtra extraordinaire, c'est que les récents résultats de mon frère au camp d'Auvours sont énergiquement niés par nos compatriotes, par les américains ! C'est eux, maintenant, qui nous accusent de bluff, là-bas!...
Wilbur Wright, bouche close, écoutait son frère. Il riait en dedans. [...]
- Orville Wright par François Peyrey, de Ce que dit Orville Wright dans L'Auto, 1909 janvier 13.
[...] Les hommes ont tenté de voler depuis 500 ans. Il a été compris, finalement, que la difficulté n'était pas de s'envoyer dans les airs, mais d'y rester — en d'autre mots, de maintenir l'équilibre. [...]
- Orville Wright, de En entrevue, Orville parle des difficultés initiales dans Dayton Herald, 1909 juin 15.
[...] Lorqu'Orville Wright finalement tombe parmi le pré sept cents pieds plus loin [215 m], aussi doucement qu'un cotton volète de sa capsule, il a établi au-delà de toute question que l'homme peut envahir le royaume de l'oiseau dans une machine plus-lourde-que-l'air moins le moteur, [...]
M. Wright croit qu'une fois capable de rester dans les airs indéfiniment sans moteur, l'aéroplane aura atteint un degré d'efficacité qui ne sera pas beaucoup mieux qu'aujourd'hui; mais il maintient qu'avec le temps, l'homme développera un sens d'oiseau qui lui permettra de localiser les courants aériens invisibles et d'en tirer profit.
Ce haut niveau d'aviation ne viendra pas d'un coup, mais se dévelopera par évolution. [...]
- Orville Wright par Van Ness Harwood, de Flying without a motor — Orville Wright plane... dans N.Y. World, 1911 nov 23**.
[...] Notre objectif est de rester en l'air aussi longtemps que possible, pas de descendre au plus vite. Le records de distance courant en deltaplane est 700 kilometres ou approximativement 420 milles. Pour ce faire, vous devez décoller tôt et voler toute la journée, autour de 10 heures ou plus. [...]
- Bob Fisher , de Deltaplanes prennent l'air dans Colorado County Citizen, 2012 fév 07.
Les frères Wright en bref — En détail (anglais) — Source photo
* effacé par de l'eau. ** date et nom du journal, déduits, pas légibles.
[...] I am entending to start in a few day for a trip to the coast of North Carolina in the vicinity of Roanoke Island for the purpose of making some experiments with a flying machine. It is my belief that flight is possible and while I am taking up the investigation for pleasure rather than profit, I think there is a slight possibility of achieving fame and fortune from it. It is almost the only great problem which has not been pursued by a multitude of investigators, and therefore carried to a point where further progress is very difficult. I am certain I can reach a point much in advance on any previous workers in this field even if complete success is not attained just at present. At any rate I should have an outing of several weeks and see a part of the world I have never before visited. Affectionately your [son]*
- Wilbur Wright, from a letter to his father from Kitty Hawk, 1900 September 03.
[...] Our new machine is a great improvement over any thing we have built before and over any thing any one has built. We have far beaten all records for flatness of glides as we in some cases have descended only 5⅓ degrees from the horizontal while other machines descended from 7½ ° to 11 °.
This means that in soaring, we can descend much slower, [...]. The new machine is also much more controllable than any heretofore built so the danger is correspondingly reduced. We are being very careful and will avoid accident of serious nature if possible. Yesterday I tried three glides from the top of the hill and made 506 ft, 504 ½ ft and 550 ft respectively [ ie. 154,3, 153,8 and 167,7 m ] in distance passed over. [...]
- Wilbur Wright, from a letter to his father from Kitty Hawk, 1902 October 02.
[...] The past five days have been the most satisfactory for gliding that we have had. In two days we made over 250 glides, or more than we had made all together up to the time Lorin left. We have gained considerable proficiency in the handling of the machine now, so that we are able to take it out in any kind of weather. Day before yesterday we had a wind of 16 meters per second or about 30 miles per hour, and glided in it without any trouble. That was the highest wind a gliding machine was ever in, so that we now hold all the records! The largest machine ever handled in any kind of [weather, the greatest dis]*tance glide (American), the longest time in the air, the smallest angle of descent, and the highest wind!!! Well, I'll leave the rest of this "blow" till we get home. [...]
- Orville Wright, from a letter to his sister from Kitty Hawk, 1902 October 23.
[...] The French, say Orville Wright smiling, have long doubted our experiments. They called us bluffers. Today, we don't deserve this reputation among them anymore. But what will appear extraordinary to you, it's that the recent results of my brother at the Auvours camp are energically denied by our compatriots, by the americans ! It's them, now, that accuse us of bluff, over there!...
Wilbur Wright, mouth close, was listening to his brother. He was laughing inside. [...]
- Orville Wright by François Peyrey, from Ce que dit Orville Wright in L'Auto, 1909 january 13.
[...] Men have been attempting to fly for 500 years. It came to be understood, finally, that the difficulty was not to get into the air, but to stay there — in other words, to maintain an equilibrium. [...]
- Orville Wright, from Interviewed, Orville tells early airship struggles in Dayton Herald, 1909 june 15.
[...] When Orville Wright finally dropped upon the meadows seven hundred feet away [215 m], as lightly as cotton flutters from its boll, he had established beyond all question that man may invade bird realms in heavier-than-air machine minus the motor, [...]
Mr. Wright believes that once it is capable of remaining in the air indefinitely without a motor the aeroplane will have reached a point in efficiency which will not be greatly bettered in his day; but he holds that in time man will develop a bird sense which will permit him to locate unseen air currents and take advantage of them.
This high state of aviation will not come at once, but will develop through evolution. [...]
- Orville Wright by Van Ness Harwood, from Flying without a motor — Orville Wright soars... from N.Y. World, 1911 nov 23**.
[...] Our objective is to stay up as long as we can, not get down as quickly as we can. Current world record distance for a hang glider is 700 kilometers or approximately 420 miles. To do this, you have to launch early and fly for the whole day, around 10 hours or more. [...]
- Bob Fisher , from Hang gliders take to the air from Colorado County Citizen, 2012 feb 07.
The Wright brothers in brief — In detail — Source photo
* erased by water. ** date and newspaper name, inferred, not legible.
Jan Lavezzari, 1904 février 15 Rogallo Parawing, 1961 décembre Rogallo par Dickenson, 1963 oct 21
Un peu d'histoire Dans les années '40, Francis Rogallo, un des premiers ingénieurs aéronautiques des Etats-Unis, aidé de sa femme Gertrude, développe à la maison et à des endroits semblables à Kitty Hawk, une aile simple faite surtout de tissus, un cerf-volant flexible. Breveté en 1948, le concept n'attire l'attention qu'après Francis Rogallo et des contracteurs de la NASA publient des résultats de tests conduits pour la rentrée des capsules spatiales, dans les années '60. Le modèle gonflable en particulier se fait la muse de quelques-uns (photo à droite). Contrairement aux frères Wright, le couple Rogallo décide de laisser faire les nombreux innovateurs qui s’inspirent de leur création. Ils encouragent même les essais et vont tester des innovations en soufflerie. De quelques innovateurs et cascadeurs du début, le plaisir et la passion du vol popularisent l'activité vers la fin des années '60 et le début des années '70. De toutes les ailes artisanales, c'est l'aile de type Rogallo qui se montre la plus stable, performante et facile à manier. Elle est aussi de construction très simple. Le vol libre était né. Le vol libre s'est alors répandu rapidement, comme un feu de forêt, dans les années '70. Presque littéralement! L'aile Rogallo avait des faiblesses et voler n'est pas aussi simple que les oiseaux semblent montrer. Les accidents furent nombreux. L'enseignement et surtout les ailes, évoluèrent rapidement vers plus de contrôle, plus de performances, plus de sécurité. Durant cette période, de braves pionniers peut-être un peu fous se sont lancés à la découverte et au développement de sites propices au vol libre. Des pentes douces et vents réguliers des bords de mers, le vol libre s'est répandu vers les falaises et les montagnes aux courants aériens moins connus et moins prévisibles. Les thermiques, bien connus des adeptes du planeur, pouvaient également transporter rapidement les libéristes vers des altitudes étonnantes et même les amener visiter les nuages. Les sites les plus consistants et sécuritaires devenant progressivement plus populaires... Les comptes-rendus de records témoignent de toute cette évolution. Les records reflètent les améliorations des ailes, des libéristes, des sites. Le mont 7, bien situé au nord de la tranchée des montagnes rocheuses, permet de longs vols au-dessus d'une vallée peuplée et dotée de suffisamment d'atterrissages potentiels, avec des thermiques prévisibles le long des crêtes. C'était un des meilleurs endroits au monde pour y faire des vols records, dans les années '80 et '90 en particulier. Depuis, les records mondiaux sont devenus encore plus élitistes. Ils sont effectués par les meilleurs libéristes au monde, aux meilleurs sites du monde pour les records intentés et dans les meilleures conditions météos possibles. Par exemple, les records de distances se font maintenant dans la plaine, dans un air actif, avec vent. Ce record est actuellement de 764 km en 11 heures, détenu par Dustin Martin, effectué le 4 juillet 2012 au Texas, avec un Wills Wing T2C 144. En 1994 (26 juillet), j'ai effectué mon meilleur vol à ce jour en atterrissant à Jaffray (238 km) après plus de huit heures de vol alors qu'il commençait à faire noir. Le ciel était bleu et les thermiques, exceptionnels depuis plusieurs jours. En fait, j'ai noté quinze jours consécutifs de vols thermiques dont dix furent des vols de distances (cinq de plus de 100 km) durant cette période de beau temps. Vincene Muller raconte que durant les nationaux de parapente de 2000, son fils Chris s'est rendu à Jaffray (246 km) en huit heures (atterrissage vers 21:00, après le coucher du soleil). Pas une journée épique, selon Chris, mais Bernard Winklemann a fait 170 km, Will Gadd, 161 km, Brett Hazlett et Sean Dougherty, plus de 150 km, ce jour là. Cela fait de Chris le présent détenteur du record de distance officieux au mont 7, catégorie parapente. Le record de site toutes catégories (en delta) de Randy Haney avec son vol à Trego (321,53 km), le 2 juin 1986, un record mondial à l'époque, est maintenant battu par Chris Muller. Chris s'est rendu aussi à Trego, durant le Défi distance Willi Muller 2004, pour atterrir un peu plus loin que Randy, à une distance de 327 km. La table suivante présente les records de vols canadiens effectués à partir du mont 7. Plusieurs de ces vols furent records mondiaux officiels à l'époque. |
A bit of history In the '40s, Francis Rogallo, an early U.S. aeronautical engineer, helped by his wife Gertrude developed at home and at Kitty Hawk-like locations, a simple wing made mostly of fabric, a flexible kite. Patented in 1948, the concept attract attention only after Francis Rogallo and NASA contractors publish results of tests conducted for the reentry of space capsules, in the '60s. The inflatable model in particular becomes the muse of some (photo, right). Contrary to the Wright brothers, the Rogallo couple decide to allow the numerous innovators inspired by their creation. They even encourage trials and will test some innovations in wind tunnel. From innovators and stuntmen at the beginning, fun and the passion for flight popularize the activity in the late '60s and early '70s. Amongst all of the homemade wings, the Rogallo type show most stability, most performance and is easiest to handle. It is also very easy to construct. Hang gliding was born. Hang gliding did then spread rapidly, like a forest fire, in the '70s. Almost literally! The Rogallo wing had weaknesses and flying is not as easy as the birds seem to show. Accidents were numerous. Teaching, and mainly the wings, evolved rapidly toward more control, more performance, and more safety. During this period, brave pioneers maybe a bit crazy started discovering and developing sites favourable to hang gliding. From gentle slopes and regular sea breezes at the coasts, hang gliding did spread toward cliffs and mountains with aerial currents less known and less predictable. Thermals, well known by sailplane pilots, could carry hang glider pilots as well, rapidly to stunning altitudes and even bring them to visit the clouds. The sites proving to be most consistent and safe became progressively more popular... Record accounts show all this evolution. Records reflect wings, pilots and sites improvements. Mount 7, well located to the north of the rocky mountains trench, allows long flights above a populated valley with enough potential landings, in predictable thermals along the peaks. It was one of the best places of the world to accomplish record flights, in the '80s and '90s in particular. Since, world records did become even more elitists. They are accomplished by the best free flight pilots in the world, at the best sites of the world for the record attempted and in the best weather conditions possible. For example, open distance records are now done in the plain, in bubbling air, with wind. Currently, this record is 764 km in 11 hours, held by Dustin Martin, carried out on 2012 july 4 in Texas, with a Wills Wing T2C 144. In 1994 (july 26), I carried out my best flight to date when I landed in Jaffray (238 km) after more than eight hours airtime, while it was starting to get dark. The sky was blue and the thermals, exceptional since many days. In fact, I noted fifteen consecutive days of thermal flights, ten of which were distance flights (five of more than 100 km) during that stretch of good weather. Vincene Muller relates that during the paragliding nationals of 2000, her son Chris made it to Jaffray (246 km) in eight hours (landing at around 9 pm, after sunset). Not an epic day, according to Chris, but Bernard Winklemann did 170 km, Will Gadd, 161 km, Brett Hazlett and Sean Dougherty, more than 150 km, on that day. This would make Chris the current holder of the unofficial open distance mount 7 record, paraglider category. The site record all categories (in a hang glider) by Randy Haney with his flight to Trego (321,53 km), 1986 june 2, a world record at the time, is now beaten by Chris Muller. Chris flew to Trego also, during the Willi Muller cross-country classic 2004, to land a bit further than Randy for a distance of 327 km. The following table presents canadian records accomplished from mount 7. Many of these flights were official world records in their days. |
[...] — Père! père! s'écria-t-il dans mon bureau, les «Wright boys», ils ont volé, oui, en l'air; leur machine... elle s'est envolée.
Mon sang ne fit qu'un tour; je regardai mon fils avec stupeur; il n'y avait pas à en douter, il avait perdu la raison, il était fou, complètement fou. [...]
- Torrence Huffman, propriétaire du champ des premiers essais non-côtiers. Rapporté par Victor Breyer et Robert Coquelle , de La vie et les inventions des frères Wright dans La vie au grand air, 1909 mai 8.
[...] — Dad! dad! he exclaimed in my office, the "Wright boys", thy have flown, yes, in the air; their machine... it took off.
My blood turned at once; I looked at my son with stupor; there was no doubt, he had lost his mind, he was crazy, completely insane. [...]
- Torrence Huffman, owner of the first non-costal experiments field. Reported by Victor Breyer and Robert Coquelle , from La vie et les inventions des frères Wright in La vie au grand air, 1909 may 8.
Records accomplis à partir du mont 7 accomplished starting from mount 7 | ||||||
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Date | Type | Nom Name |
Aile Wing |
Décollage Launch |
Record | Commentaires Comments |
28 juillet 2014 July 28 |
Paraglider: declared out and return distance Parapente: distance aller-retour déclarée |
Nicole McLearn | Niviuk Peak 3 | Vigie du mt 7 lookout | 149,6 km | Turnpoint was Spur Valley. Was also a feminine record. GPS track. Balise était à Spur Valley. Aussi un record féminin. Tracé GPS. |
22 juin 2014 June 22 |
Hang glider: free out and return distance and speed Deltaplane: distance aller-retour libre et vitesse |
Ross Hunter | Moyes Lightspeed 4.5 | Vigie du mt 7 lookout | 204,25 km - 40,37 km/h | FAI North American speed record for out and return above 200 km and and canadian out and return distance record. GPS track. Record de vitesse Nord-Américain FAI pour aller-retours de plus de 200 km et record canadien aller-retour. Tracé GPS. |
29 juillet 2004 July 29 |
Paraglider, feminine: open distance Parapente, féminin: distance libre |
Nicole McLearn | Gradient Aspen | Vigie du mt 7 lookout | 135,5 km | Her personal best. Landed west of Columbia lake, before Canal Flats. Son meilleur vol. Atterrit à l'ouest du Lac Columbia, avant Canal Flats. |
3 août 1999 August 3 |
Paraglider, tandem: Open distance, distance to goal and gain of height Parapente biplace: distance libre, distance au but et gain en altitude |
Chaloner Hale, passager Cindy Godwin passenger | Advance bi-beta | Vigie du mt 7 lookout | 116 km - goal at 53,6 km au but - 1976 m | Three canadian records in one flight. He took a photo of the goal and continued. Trois records canadiens en un vol. Il a pris une photo du but et a continué. |
10 juillet 1999 july 10 |
Rigid: speed over a 100 km course and out & return distance Rigide: vitesse sur trajet de plus de 100 km et distance aller-retour |
Stewart Midwinter | Brightstar Millenium | Vigie du mt 7 lookout | 107,124 km - 33,13 km/h | Speed was world record. Vitesse était record mondial. |
3 août 1998 august 3 |
Rigid: speed over a 100 km course Rigide: vitesse sur trajet de plus de 100 km |
Stewart Midwinter | Brightstar Millenium | Vigie du mt 7 lookout | 29,74 km/h | Practice flight for the world record. Vol de pratique pour le record mondial. |
8 juillet 1998 july 8 |
Rigid: out and return distance Rigide: distance aller-retour |
Stewart Midwinter | Brightstar Millenium | Vigie du mt 7 lookout | 105,58 km | Rigid have aerodynamic controls, are more performant but are more heavy. Les rigides sont contrôlés aérodynamiquement, sont plus performants mais plus lourds. |
28 juillet 1994 July 28 |
Paraglider: speed around a 25 km triangle Parapente: vitesse en un triangle de 25 km |
Eric Oddy | Apco Supra 25 | Vigie du mt 7 lookout | 17,33 km/h - 25,51 km | Was world record. Etait record mondial. |
15 août 1992 August 15 |
Hang glider, tandem: altitude gain Delta biplace: gain en altitude |
Stewart Midwinter, Peter MacLaren | Pacific Airwave Double Vision | Vigie du mt 7 lookout | 1546 m | |
1 août 1992 August 1 |
Hang glider: speed to goal 100 km out & return Delta: vitesse au but sur aller-retour de 100 km |
Martin Henri | Wills Wing HP AT 158 | Vigie du mt 7 lookout | 34,468 km/h | |
1 août 1992 August 1 |
Hang glider, feminine: altitude gain Delta, féminin: gain en altitude |
Mia Schokker | Wills Wing HP AT 145 | Vigie du mt 7 lookout | 1894 m | |
11 juillet 1992 July 11 |
Paraglider: flight to goal Parapente: vol au but |
Chris Muller | Apco Astra comp. 30 | Vigie du mt 7 lookout | 146,22 km | Was world record. Landing south of bridge in Canal Flats. Etait record mondial. Atterrissage au sud du pont à Canal Flats. |
25 juin 1992 June 25 |
Paraglider: open distance Parapente: distance libre |
Peter MacLaren | Edel Racer 25 | Vigie du mt 7 lookout | 120,16 km | |
4 août 1991 August 4 |
Paraglider: open distance with one turnpoint (dogleg) Parapente: distance libre avec une balise |
Willi Muller | Apco Hilite 3-29 | Déc. du haut du Mt 7 upper launch |
109,32 km | Was world record. (Not a record category anymore) Etait record mondial. (N'est plus une catégorie pour record) |
4 août 1991 August 4 |
Paraglider: open distance Parapente: distance libre |
Chris Muller | Apco Hilite 3-24 | Déc. du haut du Mt 7 upper launch |
108,72 km | |
13 juillet 1991 July 13 |
Hang glider: open distance with one turnpoint Delta: distance libre avec une balise |
Willi Muller | Wills Wing HP AT 158 | Vigie du mt 7 lookout | 154,19 km | |
7 juillet 1991 July 7 |
Paraglider: distance to goal and altitude gain Parapente: distance au but et gain en altitude |
Chris Muller | Apco Hilite 3-24 | Vigie du mt 7 lookout | 101,5 km - 2300 m | Distance was world record. La distance était record mondial. |
7 juillet 1991 July 7 |
Paraglider: distance to goal Parapente: distance au but |
Sean Dougherty | Apco Hilite 3-24 | Vigie du mt 7 lookout | 101,5 km | Was world record. Shared with Chris. Etait record mondial. Partagé avec Chris. |
1 juillet 1991 July 1 |
Hang glider: speed around 25 km triangle Delta: vitesse sur un triangle de 25 km |
Stewart Midwinter | Wills Wing HP AT 158 | Vigie du mt 7 lookout | 15,828 km/h - 25,32 km | |
29 juillet 1990 July 29 |
Hang glider: speed to goal 100 km out & return Delta: vitesse au but sur aller-retour de 100 km |
Stewart Midwinter | Wills Wing Sport 167 | Vigie du mt 7 lookout | 27,91 km/h | |
21 juillet 1990 July 21 |
Hang glider: flight to goal Delta: vol au but |
Jean-Claude Hauchecorne | Wills Wing HP AT 158 | Vigie du mt 7 lookout | 172,17 km | Landing at Premier lake. Atterrissage au lac Premier. |
20 juillet 1990 July 20 |
Hang glider: speed to goal 200 km out & return Delta: vitesse au but sur aller-retour de 200 km |
Jean-Claude Hauchecorne | Wills Wing HP AT 158 | Vigie du mt 7 lookout | 35,08 km/h - 215,18 km | Speed was world record. Turnpoint at Invermere. Vitesse était record mondial. Balise à Invermere. |
5 août 1989 August 5 |
Hang glider: flight to goal Delta: vol au but |
Kevin Caldwell | Airwave Magic Kiss | Vigie du mt 7 lookout | 146,1 km | Landing at Canal Flats. Atterrissage à Canal Flats. |
2 juin 1986 June 2 |
Hang glider: open distance Delta: distance libre |
Randy Haney | Airwave Magic IV 166 | Déc. du bas du Mt 7 lower launch |
321,53 km | Was world record. Landing in Trego, Montana. Etait record mondial. Atterrit à Trego, Montana. |
11 juillet 1984 July 11 |
Hang glider: out & return Delta: aller-retour |
Willi Muller | UP Comet 185 | Déc. près du sommet du Mt 7 "helicopter" launch |
124,12 km | |
13 juin 1984 June 13 |
Hang glider: flight to goal Delta: vol au but |
Clifford John Kakish | UP Comet 185 | Déc. près du sommet du Mt 7 "helicopter" launch |
89,24 km | |
5 juillet 1983 July 5 |
Hang glider: open distance Delta: distance libre |
Clifford John Kakish | UP Comet 185 | déc. près du sommet Mt 7 "helicopter" launch |
129,8 km | |
26 août 1982 August 26 |
Hang glider: out & return Delta: aller-retour |
Clifford John Kakish | UP Comet 185 | Déc. près du sommet du Mt 7 "helicopter" launch |
69,56 km | |
[...] Au congrès aéronautique international à Londres cette question était reprise, de façon à avoir uniformité de l'usage des noms. Ce congrès a décidé «aeronef» comme terme approprié pour toutes machines plus lourdes que l'air.
[...] «Aérostat» est un ballon libre et «aéronat» un ballon dirigeable, sac de gaz avec hélice et gouvernail, par lesquels son trajet peut être contrôlé.
Un «aéroplane» consiste de surfaces de courbes aéro, l'essieu de l'hélice placé horizontalement. Un «hélicoptère» a les hélices placées verticalement, tirant la machine directement vers le haut du sol. «Orthoptères» ont des ailes battantes. Un «aéronaute» est le navigateur de l'embarcation; si breveté par un aéro club il est un «pilote.»
«Aviateur» est une sorte de machine volante, pas le navigateur. «Aviation» est l'art de voler. Ensuite, le mot très discuté «aérodrome.» Selon le congrès cela signifie «sentier aérien.» Les experts du congrès ne pouvaient pas réconcilier le sentier avec la machine, en dépit de Dr. Bell et Dr. Langley, considérant que cela prenait trop de liberté avec l'ancienne langue. Un «monoplan» est une machine avec une courbe aéro et un biplan en a deux. [...]
- Journaliste , de Wrights return to America bearing laurels of kings dans Chicago Tribune, 1911 sept 5.
[...] At the international aeronautic congress in London this matter was taken up, so as to have uniformity in the use of names. That congress decided upon "aeronef" as the proper term for all heavier than air machines.
[...] "Aerostat" is a free balloon, and "aeronat" a dirigible balloon, a gas bag with propellers and rudder, by which its course can be controlled.
An "aeroplane" consists of surfaces of aero curves, the propeller shafts set horizontally. A "helicopter" has the propellers set vertically, pulling the machine straight up from the ground. "Orthopters" have flapping wings. An "aeronaut" is the navigator of the craft; if licenced by an aero club he is a "pilot."
"Aviator" is a form of flying machine, not the navigator. "Aviation" is the art of flying. Then, the much mooted word "aerodrome." According to the congress this means "aerial track." The experts of the congress could not reconcile the track with the machine, Dr. Bell and Dr. Langley notwithstanding, considering it took too much license with the ancient tongue. A "monoplane" is a machine with one aero curve and a biplane has two. [...]
- Reporter , from Wrights return to America bearing laurels of kings in Chicago Tribune, 1911 sept 5.
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Données des records fournies par l'ACVLRecords data provided by the HPAC.
Codes sources by par SL at à sergelamarche@gmail.com
Background photo: NASA, International Space Station, sept 2014Photo du fond: NASA, Station Spaciale Internationale, sept 2014
Droits d'auteurs Copyrights © 2015 Serge Lamarche
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